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Le smartphone bientôt relégué au musée de la pop culture ?

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Entre fantasmes d’implants Neuralink, invasion des lunettes connectées et GalaxyAI qui ronge tout, la Silicon Valley orchestre la fin annoncée de notre “doudou numérique”.

Qui veut enterrer le smartphone ?

Pendant qu’Elon Musk promet des implants cérébraux et que GalaxyAI commence à deviner nos punchlines, la Silicon Valley prépare l’après-mobile : techno-fantasme ou futur inéluctable ? Plongée satirique entre hype, dérives IA et nostalgie geek, pour comprendre quand, comment et pourquoi notre fidèle écran de poche risque de finir… au musée (ou en crise d’identité).

En 2025, tandis que les French-techies débattent de souveraineté numérique autour de croissants en carton et que Mark Zuckerberg tente de nous refourguer des Ray-Ban version Minority Report, la Silicon Valley enterre doucement l’icône du XXIe siècle : le smartphone. Oui, notre précieux rectangle lumineux — héros de l’époque « selfie-toilette », outil officiel du doomscrolling nocturne et accessoire de toutes les réunions sur Teams qu’on mute en douce — s’apprête à finir sous cloche au Musée du pixel.

Elon Musk crie à qui veut l’entendre que fabriquer un nouveau téléphone l’envoie direct en dépression, préférant tabler sur Neuralink, son projet d’implant cérébral façon Black Mirror. De son côté, Zuckerberg mise gros sur des lunettes connectées qui font plus TikTok qu’intelligent et moins fashion que prévu.

Pendant ce temps, Apple, fidèle à sa timeline « évolution douce, cash-flow fort », préfère laisser les autres rêver Matrix pendant qu’il vend encore l’iPhone à prix de truffe. Mais la vraie révolution s’infiltre déjà dans nos mains : l’IA type GalaxyAI, ce copilote qui écrit nos vannes, range nos photos de chats et pourrait bien un jour prendre le contrôle total… ou, à défaut, deviner notre meilleur angle pour la photo de profil, tout en scrollant pour nous les fake news et la dernière chanteuse générée par MIDI et deepfake.

Pourquoi cette obsolescence annoncée ?

Parce qu’il faut bien continuer de consommer — pardon, d’innover —, et qu’entre deux directives européennes qui réclament des smartphones plus sécurisés et moins « boîte à fuites de données », le smartphone glisse, un peu gêné, vers la sortie. L’évolution ? Un bras de fer entre implants, gadgets AR, vieilles passions pop culture et la promesse ricanante que, dans dix ans, on présentera un vieux Galaxy comme on montre un Nokia 3310 à ses petits-neveux : « Tu vois, ça, c’était avant que ton oncle Sam télécharge la réalité directement dans son cerveau… »

Dans la Silicon Valley, ça recrache déjà le mot « smartphone » avec la moue d’un bobo découvrant une clé 3G vintage. Elon Musk lâche en 2025, devant un parterre de fans mi-fascinés, mi-effrayés : « Créer un téléphone ? Ça me donne envie de mourir. » Traduction corporate : ton iPhone 28 bientôt remplacé par un port USB derrière l’oreille, Neuralink en embuscade.

Mark Zuckerberg préfère parier sur ses lunettes Meta Orion en réalité augmentée : des milliards engloutis, pour l’instant surtout des prototypes… et la France qui éternue en pensant aux Google Glass. « L’avenir, c’est regarder TikTok sans les mains – mais avec des Ray-Ban connectées. »

Chez Apple, Tim Cook fait de la résistance passive, préférant la « révolution » du port USB-C au grand saut vers le cerveau connecté. À la WWDC : « Nos clients veulent des transitions douces. » En clair, on a encore des stocks d’iPhone à écouler avant d’ouvrir le musée.

Chiffres clé et tendances

  • En 2025, 81 % des Français possèdent un smartphone – contre à peine 1,3 % équipés en lunettes ou bagues connectées (données ARCEP).
  • Les investissements cumulés des GAFAM dans l’IA mobile et les objets connectés dépassent les 300 milliards de dollars depuis 2020.
  • Le taux de projets d’objets connectés non conformes à la sécurité européenne atteint 60 % selon une étude suisse : ton grille-pain WiFi pourrait bien être une porte d’entrée pour un pirate, si tu ne fais pas attention.
  • Prochaine échéance : le 1er août 2025, date limite pour que tous les objets connectés s’alignent sur les normes européennes.

Côté opérateurs, le chant de la souveraineté numérique résonne. « Arrêtez d’utiliser ChatGPT ! Essayez Mistral ! Utilisez des modèles open source sur du cloud français », scande Aude Durand, bras droit techno chez Iliad/Free. L’Observatoire du Long Terme alerte : « La désinformation court-circuite nos démocraties à la vitesse de la 5G. » Les portables ne sont que l’avant-garde de l’ère Matrix.

Conséquences et bouleversements

  • La vie privée gruyère désormais trouée au-delà du raisonnable ;
  • Le marché de la nostalgie qui s’éveille – premiers musées du smartphone attendus d’ici 2030, avec escape game intégré : « Arriverez-vous à envoyer un SMS sur clavier T9 avant votre ado ? » ;
  • Divorce entre souveraineté numérique et dépendance américaine, les puces Nvidia étant encore made in US ;
  • Côté pop culture, Mario Kart en arrière-plan dans ton implant Neuralink, punchlines générées par GalaxyAI, impossible d’appeler ta mère sur son 3310 blindé de sécurité européenne.

Le smartphone, héros fatigué de la décennie 2010, n’a plus que quelques années avant la retraite anticipée. Mais il ne partira pas sans lutter. L’avenir se dessine comme un improbable hybride : un Nokia 3310 boosté à l’IA française, coque collector comprise, plus sûr que ton banquier — et la possibilité pour GalaxyAI de confondre « Snake » avec une commande Linux.

Retour en arrière : genèse du smartphone pop

Retour en arrière : début des années 2010. Commander une pizza, surveiller son ex, perdre la moitié de sa rétine… tout tenait dans 5 pouces de technologie tactile. Quinze ans plus tard, il y a plus de smartphones que de brosses à dents sur Terre, et ils sont autant le flambeau de la pop culture que sa caricature. Entre mèmes, NFT, fake news, artistes IA et deepfakes, le smartphone est devenu la platine vinyle de la planète connectée.

Face à ce trop-plein techno, la Silicon Valley pédale vers l’ère post-mobile. Musk rêve d’implants, Zuckerberg ne jure que par les lunettes, Apple collectionne déjà les iPhones anciens comme des VHS de Fantômas. L’Europe resserre ses règles pour la sécurité, anticipant un retour du vintage version 3310, reboosté à l’IA européenne, résolument fermé à TikTok.

La télécommande a été détrônée par le smartphone. Et le smartphone ? Prêt à être détrôné par le cortex connecté ou par la résistance nostalgique du tactile, cajolé jusqu’au bout. À chaque règne son musée, à chaque innovation sa crise d’identité.

Que nous réserve l’ère post-mobile ?

Le smartphone n’est déjà plus seul à prendre la poussière sous vitrine : à Varsovie, le Museum of Modern Technology expose Nokia 3310, BlackBerry et premiers iPhone aux côtés des tamagotchis. En 2024, l’Européen moyen consulte son smartphone 150 fois par jour ; demain, chaque micro-coup d’œil risque de faire vibrer une puce dans le cortex. Les premières lunettes connectées — de Google Glass à Meta Orion — ont déjà trempé dans la sauce flop, transformant parfois le porteur en phénomène de foire.

GalaxyAI va-t-il transformer l’utilisateur en humain augmenté ou en humain dépassé ? Déjà, 38 % des utilisateurs font davantage confiance à leur assistant IA qu’à leur conjoint pour organiser leur planning, annonce Samsung. Et pendant que chacun délègue ses excuses et défis Mario Kart à l’IA, les objets connectés prolifèrent, pas toujours sécurisés. Dès 2025, chaque bijou ou doudou connecté devra satisfaire la directive cybersécurité européenne. Si ce n’est pas le cas, tu risques bien de te faire réveiller par un babyphone parlant en russe pirate à 2 heures du matin.

Petite pensée pour le rétro : la batterie du Nokia 3310 tenait 12 jours — aujourd’hui, l’autonomie des nouveaux appareils n’atteint parfois pas les 12 heures, et il faut justifier à ton AI pourquoi tu ne veux pas passer en « mode vivre au-delà de la réalité ».

Conseils et perspectives

Pour ceux qui tiennent encore leur smartphone comme on caresse un vieux Tamagotchi, aucune obligation de le fourrer sous cloche. Mais à l’aube de l’ère augmentée, mieux vaut vérifier que ton prochain gadget respecte la sécurité numérique, sous peine de finir avec des caméras indiscrètes ou des montres qui écoutent tout, même ton chat. Prochainement, les musées recrutent déjà pour exposer les fossiles du pixel, escape games et ateliers rétro-gaming à la clé.

Si GalaxyAI se met à tutoyer ou à planifier tes vacances sans autorisation, pas d’inquiétude : la hotline du Musée Grévin du Pixel répond encore au pigeon voyageur. Prochain épisode : « Implants cérébraux et vie privée : comment dire “j’ai rien à cacher” avec élégance à son miroir connecté ? »

Pour aller plus loin, scroller les rapports sur la désinformation ou échanger les meilleures blagues sur Discord — en attendant, keep calm and Galaxy on.

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